Amabilité à la hongroise
Petit WE en Transylvannie histoire de sortir de la morosité Budapestoise. Ce que j'ai gardé pour moi les premières semaines semble être partagé par la plupart des étrangers et des hongrois sympas que je connais, et j'ai donc moins honte d'en parler: le Hongrois de base n'est pas aimable, pas souriant, pas serviable. Inutile de le prendre pour soi quand on vous adresse un regard de hareng si vous osez payer avec un billet trop gros ou si une vendeuse prend un air exaspéré quand vous demandez à essayer un jean dans une autre taille: c'est la règle générale. Si vous osez de plus ne pas parler hongrois et que vous l'avouez à la mémé qui vous demande un renseignement, vous êtes certain de vous prendre une volée de commentaires probablement peu aimables...
Le côté sympa de cette antipathie érigée au rang de culture nationale, c'est quand un Hongrois ou mieux une Hongroise est sympa est souriante. Ca m'est arrivé ce matin au supermarché, où généralement je me fais fusiller du regard quand je prétend payer des courses de 3500 forints avec un billet de 5000: une caissière jeune, jolie, anglophone et souriante. Terriblement choqué, je m'en suis ouvert à mon colloc dès mon retour. Rien à faire, il ne m'a pas cru...
Le côté sympa de cette antipathie érigée au rang de culture nationale, c'est quand un Hongrois ou mieux une Hongroise est sympa est souriante. Ca m'est arrivé ce matin au supermarché, où généralement je me fais fusiller du regard quand je prétend payer des courses de 3500 forints avec un billet de 5000: une caissière jeune, jolie, anglophone et souriante. Terriblement choqué, je m'en suis ouvert à mon colloc dès mon retour. Rien à faire, il ne m'a pas cru...
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