Tbilissi
Tbilissi c'est dès demain, avec une arrivée sur zone à 3h du matin. Bon ok en fait c'est après-demain. En toute honnêteté intellectuelle, je me suis demandé ce que je savais de la Géorgie moderne.
Bien peu de chose. Ils jouent au rugby (vaillamang), j'ai gouté du vin Géorgien, j'ai même mangé ma premère "Katchapuri" dans un restaurant Géorgien de Vienne. Ils font des Karadeniz Pide, que je soupçonne du coup de ne pas être si Turcs que ça. J'ai croisé quelques Géorgiens à la mine basse à Istanbul. Je sais que leur langue, comme la plupart des langues caucasiennes, est foncièrement inaccessible pour un étranger et ferait passer le Turc et le Hongrois (deux langues non indo-européennes que je parle pour l'une, que je devrais parler pour l'autre) pour d'aimables idiomes. Je la trouve par contre à veloutée et râpeuse à l'oreille, un peu comme leur vin... Je me suis laissé conquérir par les chants géorgiens à couper le souffle, j'ai une idée à peu près claire de ce à quoi ressemblent les danses traditionnelles géorgiennes.
Comme je suis quelqu'un de foncièrement sympa, je vous fait partager mon coup de coeur kitch, probablement la première chanson géorgienne que j'aie jamais écouté. Pas grand chose à voir avec la majesté des polyphonies, mais avouez que c'est délicieux... voici "Dzeveli Tbilissi" dont je dois connaître le premier couplet en phonétique à force de l'écouter!
Ici par contre, on se tait et on écoute... Skhva Sakartvelo...
Une lecture conseillée, le blog d'un journaliste français installé à Tbilissi. Pas la peine de lire plus de 2 posts pour comprendre qu'il est dingue de ce pays...
Même si le voyage sera court, (2 jours et demi à Tbilissi, la même chose a Yerevan), j'ai la ferme intention de ramener autant de photos que mon appareil peut en supporter...Il paraît que j'ai le droit au Wi-Fi à l'hôtel à Tbilissi, vous aurez donc de mes nouvelles sous peu!
Bien peu de chose. Ils jouent au rugby (vaillamang), j'ai gouté du vin Géorgien, j'ai même mangé ma premère "Katchapuri" dans un restaurant Géorgien de Vienne. Ils font des Karadeniz Pide, que je soupçonne du coup de ne pas être si Turcs que ça. J'ai croisé quelques Géorgiens à la mine basse à Istanbul. Je sais que leur langue, comme la plupart des langues caucasiennes, est foncièrement inaccessible pour un étranger et ferait passer le Turc et le Hongrois (deux langues non indo-européennes que je parle pour l'une, que je devrais parler pour l'autre) pour d'aimables idiomes. Je la trouve par contre à veloutée et râpeuse à l'oreille, un peu comme leur vin... Je me suis laissé conquérir par les chants géorgiens à couper le souffle, j'ai une idée à peu près claire de ce à quoi ressemblent les danses traditionnelles géorgiennes.
Comme je suis quelqu'un de foncièrement sympa, je vous fait partager mon coup de coeur kitch, probablement la première chanson géorgienne que j'aie jamais écouté. Pas grand chose à voir avec la majesté des polyphonies, mais avouez que c'est délicieux... voici "Dzeveli Tbilissi" dont je dois connaître le premier couplet en phonétique à force de l'écouter!
Ici par contre, on se tait et on écoute... Skhva Sakartvelo...
Une lecture conseillée, le blog d'un journaliste français installé à Tbilissi. Pas la peine de lire plus de 2 posts pour comprendre qu'il est dingue de ce pays...
Même si le voyage sera court, (2 jours et demi à Tbilissi, la même chose a Yerevan), j'ai la ferme intention de ramener autant de photos que mon appareil peut en supporter...Il paraît que j'ai le droit au Wi-Fi à l'hôtel à Tbilissi, vous aurez donc de mes nouvelles sous peu!
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