Deux dissidents du PKK assassinés à Suleymanye
Mes récents articles m'ont valu quelques insultes bien senties sur les forums anglophones, allant de "turkish agent" à "provocator" parcce que j'avais osé répendre le mensonge éhonté que le PKK avait une légère tendance à l'assassinat de dissidents et à l'épuration interne à coups de grands procès Staliniens.
La preuve par l'exemple encore une fois, avec l'assassinant au Kurdistan Irakien de deux ex-PKK qui s'étaient enfuis du camp principal en Janvier 2004, avec Osman Öcalan (le frère) et Nizamettin Tas (dit Botan). Ces traîtres à la cause kurde et diffuseurs de mensonges visant à salir le leader incontesté du combat pour la libération nationale avaient fondé un parti, le PWD (Partiya Welatparezan Demokraten): deux de ses membres, Kani Yilmaz et Sabri Turi ont donc péri dans un attentat à la voiture piégée, l'explosion ayant été provoquée par une bombe télécommandée.
Evidemment l'attentat n'est cette fois pas revendiqué, mais la bombe radio-commandée fait partie des méthodes fréquemment employée par le PKK depuis la rupture du cessez le feu de juin 2004, notamment pour faire exploser des mines sur les chemins du Kurdistan Nord...Je pense que les forcenés se convaincront vite fait qu'il s'agit d'un attentat orchestré par une alliance du MIT, du MOSSAD, de la CIA et des martiens, mais il reste que si le PKK a perdu toute puissance militaire, il garde un pouvoir de nuisance indéniable, et ne semble pas sur le point de changer ses méthodes.
La preuve par l'exemple encore une fois, avec l'assassinant au Kurdistan Irakien de deux ex-PKK qui s'étaient enfuis du camp principal en Janvier 2004, avec Osman Öcalan (le frère) et Nizamettin Tas (dit Botan). Ces traîtres à la cause kurde et diffuseurs de mensonges visant à salir le leader incontesté du combat pour la libération nationale avaient fondé un parti, le PWD (Partiya Welatparezan Demokraten): deux de ses membres, Kani Yilmaz et Sabri Turi ont donc péri dans un attentat à la voiture piégée, l'explosion ayant été provoquée par une bombe télécommandée.
Evidemment l'attentat n'est cette fois pas revendiqué, mais la bombe radio-commandée fait partie des méthodes fréquemment employée par le PKK depuis la rupture du cessez le feu de juin 2004, notamment pour faire exploser des mines sur les chemins du Kurdistan Nord...Je pense que les forcenés se convaincront vite fait qu'il s'agit d'un attentat orchestré par une alliance du MIT, du MOSSAD, de la CIA et des martiens, mais il reste que si le PKK a perdu toute puissance militaire, il garde un pouvoir de nuisance indéniable, et ne semble pas sur le point de changer ses méthodes.
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