Silence radio?
Pas de post depuis une semaine suite a un probleme technique: l'absence presumee de port USB sur l'ordinateur du bureau. Probleme regle apres avoir realise que debrancher le Scanner en liberait un. Me voila donc apte a publier quotidiennement les peripeties de ma vie trepidante, agrementees de cliches ebouriffants.
Pour commencer vous trouvez donc ci dessous ce magnifique exemple d'art brut kurde, pris sur le vif apres un retour zigzagant du traditionnel concert tzigane du mercredi soir. Zigzagant parce que la biere reste tout compte fait abordable, et parce qu'une recente theorie elaboree par Corey et moi meme affirme que les pentes de la ville aux sept collines sont moins penibles en tirant des bords, ce qui reste tout compte fait a prouver. Vous admirerez tout de meme la prouesse sportive d'un arret photo en pleine cote, et vous laisse imaginez la difficulte du redemarrage ("je crois que je vais dormir la").
Question boulot je bosse tranquillement sur "Islam et democratie" et doit faire une "survey" des courants reformateurs et democrates du monde musulman. Le plus dur est de ne pas se laisser distraire par "wah, un article de 20 pages sur les coptes en Egypte" ou "Wouhou, un site sur les soufis au Yemen".
Question reste, le train train d'Istanbul est bien installe et je constate avec plaisir que mon alpinisme quotidien (le plus court chemin d'un point a un autre est toujours un escalier de 150 marches) compense avantageusement les portions genereuses des petits restos. Retour hier dans une gargotte pour faire decouvrir l'Iskembe a Corey, avec lequel s'est d'ailleurs installe une relation surrealiste et assumee de "Jedi/Padawan", matiere a pas mal de fous rires a base de repliques cultes.
Decouverte de l'İşkembe donc, soupe de tripes de mouton reconnue mondialement pour ses vertus desaoulantes. A ceux qui s'interroge sur le besoin de se desaouler, je signale que le cocktail "Insolation-Narghile-Mojito-Sucreries" d'une apres midi expat' branchouille sur un toit de galata est particulierement devastateur. Commandant donc deux İşkembe, nous sommes geneureusement fournis par le serveur en Pide chaud, Cacık (yaourt avec ail menthe et concombres), Ciğ Köfte (preparation de bulgur, de viande crue et d'epices, enfin surtout d'epices!!!), the, le tout "on the house". Le meme serveur me rappelle au moment de payer la note que je venais souvent ici il y a deux ans et qu'il se rappelle de moi. Sa tete me disait en effet quelque chose, mais la gargotte avait ete refait a neuf et je n'avais pas fait le rapprochement.
Inutile de dire que ce repas finit de nous achever, et que le reste de la soiree se passe a tenter poussivement de garder les yeux ouverts.
A noter, le duo irlandais se porte mieux, et nous comptons maintenant trois titres a notre repertoire.
Pour commencer vous trouvez donc ci dessous ce magnifique exemple d'art brut kurde, pris sur le vif apres un retour zigzagant du traditionnel concert tzigane du mercredi soir. Zigzagant parce que la biere reste tout compte fait abordable, et parce qu'une recente theorie elaboree par Corey et moi meme affirme que les pentes de la ville aux sept collines sont moins penibles en tirant des bords, ce qui reste tout compte fait a prouver. Vous admirerez tout de meme la prouesse sportive d'un arret photo en pleine cote, et vous laisse imaginez la difficulte du redemarrage ("je crois que je vais dormir la").
Question boulot je bosse tranquillement sur "Islam et democratie" et doit faire une "survey" des courants reformateurs et democrates du monde musulman. Le plus dur est de ne pas se laisser distraire par "wah, un article de 20 pages sur les coptes en Egypte" ou "Wouhou, un site sur les soufis au Yemen".
Question reste, le train train d'Istanbul est bien installe et je constate avec plaisir que mon alpinisme quotidien (le plus court chemin d'un point a un autre est toujours un escalier de 150 marches) compense avantageusement les portions genereuses des petits restos. Retour hier dans une gargotte pour faire decouvrir l'Iskembe a Corey, avec lequel s'est d'ailleurs installe une relation surrealiste et assumee de "Jedi/Padawan", matiere a pas mal de fous rires a base de repliques cultes.
Decouverte de l'İşkembe donc, soupe de tripes de mouton reconnue mondialement pour ses vertus desaoulantes. A ceux qui s'interroge sur le besoin de se desaouler, je signale que le cocktail "Insolation-Narghile-Mojito-Sucreries" d'une apres midi expat' branchouille sur un toit de galata est particulierement devastateur. Commandant donc deux İşkembe, nous sommes geneureusement fournis par le serveur en Pide chaud, Cacık (yaourt avec ail menthe et concombres), Ciğ Köfte (preparation de bulgur, de viande crue et d'epices, enfin surtout d'epices!!!), the, le tout "on the house". Le meme serveur me rappelle au moment de payer la note que je venais souvent ici il y a deux ans et qu'il se rappelle de moi. Sa tete me disait en effet quelque chose, mais la gargotte avait ete refait a neuf et je n'avais pas fait le rapprochement.
Inutile de dire que ce repas finit de nous achever, et que le reste de la soiree se passe a tenter poussivement de garder les yeux ouverts.
A noter, le duo irlandais se porte mieux, et nous comptons maintenant trois titres a notre repertoire.
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